Archives 2019

15 décembre 2019

Un Opéra de Haydn à Blossac L’infedeltà delusa (L’infidélité déjouée)

Opéra en deux actes, en costumes. Mise en scène avec orchestre en fosse.

Sigiswald Kuijken Direction et violon • Marie Kuijken Mise en scène • Anaïs Merlin (Sandrina) Soprano • Léo Vermot-Desroches (Nencio) Ténor • Matthieu Walendzik (Nanni) Basse • Gabrielle Varbetian (Vespina) Soprano • Benoît Rameau (Filippo) Ténor • Orchestre des CNSMD de Paris et de Lyon Départements des disciplines vocales et de la musique ancienne.

Sous la férule de Sigiswald Kuijken, les départements de musique ancienne et des disciplines vocales des Conservatoires de Paris et Lyon – CNSMD – présentent une burletta, œuvre lyrique et comique de Joseph Haydn composée en 1773. Sous le soleil toscan des paysans préparent le mariage de Sandrina et de Nencio, jeune homme riche choisi par le père de la mariée. Toutefois celle-ci préfère Nanni, un jeune paysan pauvre qui l’aime en retour. Les amoureux se dépensent ainsi en stratagèmes et en inventions, mêlant chants d’amour et de désespoir, déguisements et burlesque pour conjurer et déjouer fidélité et infidélité. L’Opéra utilisera les deux décors du Théâtre Blossac : la forêt, mais aussi le salon-bibliothèque qu’on avait pu voir seulement une fois à la ré-ouverture en 2014.

14 décembre 2019

Un Opéra de Haydn à Blossac L’infedeltà delusa (L’infidélité déjouée)

Opéra en deux actes, en costumes. Mise en scène avec orchestre en fosse.

Sigiswald Kuijken Direction et violon • Marie Kuijken Mise en scène • Anaïs Merlin (Sandrina) Soprano • Léo Vermot-Desroches (Nencio) Ténor • Matthieu Walendzik (Nanni) Basse • Gabrielle Varbetian (Vespina) Soprano • Benoît Rameau (Filippo) Ténor • Orchestre des CNSMD de Paris et de Lyon Départements des disciplines vocales et de la musique ancienne.

Sous la férule de Sigiswald Kuijken, les départements de musique ancienne et des disciplines vocales des Conservatoires de Paris et Lyon – CNSMD – présentent une burletta, œuvre lyrique et comique de Joseph Haydn composée en 1773. Sous le soleil toscan des paysans préparent le mariage de Sandrina et de Nencio, jeune homme riche choisi par le père de la mariée. Toutefois celle-ci préfère Nanni, un jeune paysan pauvre qui l’aime en retour. Les amoureux se dépensent ainsi en stratagèmes et en inventions, mêlant chants d’amour et de désespoir, déguisements et burlesque pour conjurer et déjouer fidélité et infidélité. L’Opéra utilisera les deux décors du Théâtre Blossac : la forêt, mais aussi le salon-bibliothèque qu’on avait pu voir seulement une fois à la ré-ouverture en 2014.

17 novembre 2019

Quatuor Daphnis « Quatuor à cordes »

Schubert (1797 – 1828) | Quatuor n°12 en do mineur D. 703, « Quartettsatz »
Weinberg (1919 – 1996) | Quatuor n°5 Op. 27
Dvorak (1841 – 1904) | Quatuor « américain » n°12 en fa majeur Op. 116

Le Quatuor Daphnis :
Éva Zavaro et Ryo Kojima Violon • Violaine Despeyroux Alto • Alexis Derouin Violoncelle

En Master au Conservatoire de Paris – CNSMD -, quatre talentueux musiciens investis chacun dans de très brillantes carrières en soliste. Réunis par leur commune passion pour le sacerdoce du quatuor à cordes, ils nous font entendre, après le fiévreux mouvement de quatuor de Schubert, l’un des plus beaux quatuors du grand compositeur russe Mieczyslaw Weinberg, que l’on redécouvre actuellement en France, contemporain de Chostakovitch et tout comme lui figure de l’artiste au centre des vicissitudes d’une époque troublée dans son pays. Weinberg, à l’instar de Chostakovitch, a fait d’un cycle monumental de Quatuors à cordes le pivot de son œuvre. Le quatuor « américain » écrit pendant les vacances d’été de 1893 dans l’Iowa, peuplé d’une importante colonie tchèque d’agriculteurs immigrés, est l’une des partitions les plus connues de Dvorak. Elle est traversée par la nostalgie du pays natal et le parfum de l’Europe centrale perdue, que souligne la lumineuse beauté des dernières mesures, transfiguration d’un Gospel Song dont la mélancolie traverse le dernier mouvement.

20 novembre 2019

Beethoven 250ème anniversaire Les plus belles sonates de Beethoven au pianoforte Cyril Huvé, pianoforte Schanz 1818

Ludwig van Beethoven (1770 – 1827) | Sonates « Clair de lune », « La Tempête », « Appassionata »

Cyril Huvé Pianoforte Schanz 1818

A l’issue d’une résidence d’enregistrement au Théâtre Blossac, Cyril Huvé nous fait entendre les plus belles Sonates dans les sonorités authentiques qui ont inspiré le grand Ludwig Van lorsqu’elles sont nées de son imagination : le bouillonnement d’un romantisme exaltant et contagieux dans la personnalité hors normes du compositeur dont on fête en 2020 le 250ème anniversaire de la naissance.

05 mai 2019

Le Printemps de l’Alto Solos et Ensembles d’altos

William Boyce (1710 – 1779) | R. Cohen | Viola Quartet
Jacques Offenbach (1819 – 1880) | Duo concertant
George Benjamin (né en 1960) | Viola, Viola
Pierre Boulez (1925 – 2016) | Messagesquisse pour alto solo et 6 altos
Klaus Huber (1924 – 2017) | Intrasimile, création | Plainte pour Viole d’amour
Frédéric Chopin (1810 – 1849) | P.-H. Xuereb | Valse brillante
Marin Marais (1656 – 1728) | G. Knox | Variations sur « les Folies d’Espagne »

Pierre-Henri Xuereb Alto • Étudiants de la classe de P.-H. Xuereb au CNSMDP : Corey Worley, Antonin Le Faure, Takumi Mima, Marie Walter, Pierre Courriol, Raphaël Zeitoun Altos • Khoa-Nam Nguyen Violon • Élèves des Conservatoires de Châtellerault, Poitiers & Tours Alto • Rémi Carlon Violoncelle • Antonin Le Faure Alto

Entre ses deux grand-frères, le violon et le violoncelle, l’alto réunit les qualités et les charmes de l’un et de l’autre en un seul instrument. À la classe de Pierre-Henri Xuereb au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris – cnsmd, on cultive le talent et on se passionne même pour la Viole d’amour. Dans le cadre du partenariat qui unit l’Automne Musical Grand Châtellerault et le cnsmd de Paris, les jeunes altistes élèves des Conservatoires de Châtellerault, Poitiers et Tours sont invités à partager la scène pour ce concert pédagogique festif avec leurs aînés, en Master au cnsmd de Paris, et leur professeur, le soliste Pierre-Henri Xuéreb. Après des master classes et répétitions le samedi, tout le monde se retrouvera pour célébrer le dimanche après-midi cette grande fête de printemps de l’alto. Le Printemps de l’Alto s’inscrit dans un week-end alliant pédagogie et restitution sur scène à Châtellerault : samedi 4 mai à 20h45 au Nouveau Théâtre, les instruments à vent sont à l’honneur avec le Concert de printemps de l’Harmonie du Pays Châtelleraudais, tandis que les instruments à cordes sont fêtés au concert du Printemps de l’Alto dimanche 5 mai à 16h au Théâtre Blossac.

31 mars 2019

Thomas Leleu Sextet « In the mood for Tuba »

Saint-Saëns | Samson et Dalila • Bacchanale – « Mon cœur s’ouvre à ta voix »
Delibes | Pizzicatti
Elgar | Salut d’amour
Ponchielli | Danse des heures
Bizet | Carmen • « Seguedille » – Danse Bohémienne
Piazzolla | Tango, étude n° 3 Tuba Solo – Oblivion – Invierno porteño
Grappelli | Les Valseuses
Villa-lobos | Tritoroza
Bernstein | West Side Story
Monti | Czardas

Thomas Leleu Tuba • Christophe Quatremer & Jan Orawiec Violons • Wissem Ben Ammar Alto • Morgan Gabin Violoncelle • Ulysse Vigreux Contrebasse

Il est le premier tubiste de l’histoire à avoir remporté la récompense suprême de « révélation soliste de l’année » aux Victoires de la Musique Classique (2012). Bardé de prix internationaux, tuba solo de l’Orchestre de l’Opéra de Marseille dès l’âge de 19 ans, Thomas Leleu revient en Sextet dans la Vienne quelques années après sa prestation en soliste avec l’Harmonie du Pays Châtelleraudais. Il ré-invente pour nous le concert dans une approche décomplexée en parcourant les standards d’un répertoire éclectique du 19è siècle à nos jours, mêlant les « tubes » éternels à des pièces à découvrir, accompagné par cinq solistes de premier plan des instruments à cordes..